Le Seigneur des Anneaux
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Le Seigneur des Anneaux

le jeu de role du Seigneur des Anneaux
 
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Heldas
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MessageSujet: encyclopédie sur les personages   encyclopédie sur les personages EmptyLun 5 Juin - 18:19

Turgon:



Autres noms Turondo, Turukáno

Naissance 1300 des Années des Valar Âge des Arbres
Décès 510 du Premier Âge du Soleil
Race Elfes
Groupe Noldor
Père Fingolfin
Mère Anairë
Frères Fingon, Argon
Soeur Aredhel Ar-Feiniel
Épouse Elenwë
Fille Idril Celebrindal
Arme Glamdring



Turgon, de son nom de père Turukáno était le second enfant né de l'union des Noldor Anairë et Fingolfin, premier Grand Roi des Noldor exilés. Il vit le jour lors de l'Âge des Arbres sur le continent d'Aman où il y épousa Elenwë avec laquelle il eut une fille nommée Idril. Il y vécut paisiblement jusqu'au jour où l'agitation des Noldor provoquée par le vol des Silmarils et le meurtre du roi Finwë, son grand-père paternel, ne viennent assombrir ses jours. Il fut le témoin du Serment que prononça Fëanor et le rejeta, se prononçant comme son père contre Fëanor, dont les propos se voulaient d'inciter les Noldor à se révolter contre les Valar et quitter Aman. Pourtant, il décida de suivre son père dans son exil, emportant femme et enfant avec lui. Lorsque les suivants de Fëanor combattirent contre le peuple d'Olwë, Fingon accourut à l'aide des Noldor avec l'armée de Fingolfin et Turgon était avec eux, se précipitant dans la bataille sans connaître la raison de celle-ci et de ce fait, il participa au Massacre Fratricide d'Alqualondë. Il embarqua à bord d'un navire telerin et parvint sain et sauf en Araman malgré la tempête déclenchée par Uinen pour venger les Elfes Marins. Là, Mandos en personne vint prononcer la Prophétie du Nord, celle-là même qui conduit le malheur sur tous les Noldor exilés. Mais hardis et fier, Turgon contrairement à Finarfin refusa d'abandonner la marche et poursuivit. Hélas, tous furent trahis par Fëanor à l'exception ceux de sa maison, car ce dernier s'empara de nuit et à l'insu de tous des nefs pour atteindre la rive mortelle. Fëanor ne renvoya pas les bateaux et abandonnés à leur sort, les peuples de Fingolfin et de Finrod affrontèrent Helcaraxë et son froid mortel. Lors de cette dure traversée, une partie de la glace se brisa dans la mer et Turgon parvint de justesse à sauver Idril alors que lui-même peina à sauver sa propre vie, hélas Elenwë sombra et sa haine pour Fëanor se fit toujours plus grande. Il vainquit malgré tout le Chaos des Glaces, parvenant à atteindre par le Nord la Terre du Milieu. Il arriva à Mithrim alors que pour la première fois l'aurore se levait sur le monde et que le soleil vint éveiller pour la seconde fois le Printemps d'Arda. La confrontation avec le peuple de Fëanor, aussi présent à Mithrim, fut évitée de justesse, car Fëanor mort depuis peu, son peuple affaibli depuis Dagor-nuin-Giliath et la capture de Maedhros, les firent battre en retrait autant que la honte d'avoir brûler les navires à Losgar.

Turgon s'installa à Nevrast dans son palais nommé Vinyamar, mais il ne cessait de songer à la beauté de Tirion, alors un jour il alla chercher son cousin et ami Finrod et ensemble ils explorèrent Beleriand, mais une nuit alors qu'ils se reposaient près de Twilight Meres Ulmo vint troubler leur sommeil de rêves pesants. Inquiet, il n'en souffla pourtant mot à quiconque et comme il ne trouvait nul lieu qui lui convienne, il s'en retourna à Vinyamar. Là, Ulmo vint s'adresser à lui et lui enjoignit de retourner seul dans la vallée du Sirion et avec l'aide du Vala il découvrit la vallée de Tumladen protégée de ses montagnes encerclantes et décida d'y construire sa cité. Après cinquante deux années de travaux, Gondolin comme il l'a nomma, fut achevée, il se prépara à faire secrètement migrer son peuple de Nevrast. Une fois de plus Ulmo lui apparut, celui-ci le mit à nouveau en garde contre la Malédiction de Mandos qui planait sur lui ainsi que l'orgueil qu'il lui faudra rejeter le moment venu. Le Vala lui ordonna de laisser des armes et une épée pour celui qui un jour, viendra lui apporter son message jusqu'à Gondolin et ainsi mener l'espoir pour les Noldor. Turgon s'exécuta laissant des armes derrière son trône de Vinyamar avant de quitter pour toujours Nevrast et nul n'entendit reparler de lui ni ne sut où Turgon et son peuple s'en étaient allés.

A l'abri de l'Ennemi dans sa cité, Turgon avait la faveur et la protection des Aigles dont le seigneur Thorondor avait fait son aire à Crissaegrim au Sud de Gondolin. Malgré la beauté de la ville, Aredhel Ar-Feiniel, sœur de Turgon qui était sous sa protection désira s'en aller, hélas, elle disparut lors de son voyage et ne réapparut que quatre vingt quatre ans après et avec elle était son fils Maeglin qu'elle avait enfanté avec Eöl l'Elfe Noir. Turgon fut fort heureux de retrouver Aredhel et considéra grandement Maeglin, lui qui n'avait qu'une fille, percevait en lui un héritier. Mais sa sœur et son neveu avaient quitté Eöl à son insu et ce dernier qui les avait tracés parvint jusqu'à Gondolin où il fut capturé par les gardes. Turgon lui fit bon accueil, mais Eöl dénigra l'amitié qui lui était offerte, désirant uniquement repartir avec son fils. Cependant Maeglin refusa alors, prit de colère Eöl projeta une lance vers son fils qu'Aredhel reçut pour protéger son enfant. Bien qu'Aredhel et Idril plaidèrent pour Eöl, Turgon ne trouva nulle pitié pour lui lorsque sa sœur succomba de sa blessure infligée par la lance empoisonnée et il fut exécuté. Maeglin demeura donc à Gondolin et se posa à la droite de Turgon, devenant un noble de la cité de part sa parenté avec le roi, hélas nul ne se doutait qu'ainsi une semence maudite venait d'engrainer le Roc Caché.

Turgon ne participa pas à Dagor Bragollach et son royaume ne fut pas attaquer par l'Ennemi, mais son père, Fingolfin tomba après un combat contre Morgoth. Thorondor emporta le corps du roi des Noldor et le déposa sur un pic montagneux situé au Nord de Gondolin et là, Turgon vint ériger un tertre pour son père. Trois années après la mort de Fingolfin, Turgon reçut en sa cité les Humains Húrin et Huor qui avaient été secouru par les Aigles. L'accueil de Turgon fut chaleureux envers les fils de Galdor, car il savait par Ulmo que l'espoir pourrait venir jusqu'à lui par la maison de Hador et pour cela il fut bienveillant à leur égard. Durant une année ils demeurèrent à Gondolin, les premiers mortels à avoir vu le Roc Caché avant que Turgon ne leur permis de le quitter. Turgon fut grandement inquiet depuis la fin du Siège d'Angband, car il pensait que celle-ci annonçait la chute des Noldor et il interdit à son peuple de se rendre à la guerre, mais depuis Gondolin, il vint à ses oreilles qu'un grand rassemblement s'organisait à l'extérieur provoqué par l'Union de Maedhros. Bien qu'il n'y adhéra pas, il se prépara à la bataille et brisa l'isolation. Ce fut à la surprise de tous et alors que la bataille était sur le point de s'amorcer que Turgon apparut avec son armée forte de dix mille soldats, provoquant grande joie au sein de ce gigantesque regroupement qui se voulait de détruire la force d'Angband. Ainsi Turgon participa à Nirnaeth Arnoediad, il réussit à sa frayer un chemin jusqu'à Fingon, son frère et retrouva avec bonheur Húrin. Ensemble ils combattirent, mais ce fut un désastre, l'Ennemi eut le dessus, le roi Fingon fut tué et si cela n'avait été par les défenses et les insistances d'Húrin faites à Turgon pour fuir la bataille, il serait mort. Turgon dut quitter le combat et s'en retourna à Gondolin et par la mort de son frère aîné il devint le nouveau Grand Roi des Noldor exilés. Il décida d'agir et envoya des troupes Elfes menées par Voronwë mander l'aide de Círdan. En effet, Turgon demanda à Círdan de lui construire sept navires qui auraient pour objectifs de voguer vers l'Ouest afin d'implorer le pardon et l'aide des Valar, hélas aucun navire ne fut revu et seul Voronwë sauvé des eaux par le vouloir d'Ulmo s'en revint. Vingt quatre année après Nirnaeth, Tuor accompagné de Voronwë pénétra Gondolin, celui-ci portait les armes que Turgon avait laissé derrière son trône à Vinyamar et sut que le fils d'Huor était le messager dont Ulmo lui avait jadis prédit la venue. Tuor lui porta les paroles du Seigneur de Eaux, hélas Turgon ne rejeta pas son orgueil et refusa de se préparer à la guerre ou à fuir sa belle cité, ne prenant nul conseil à cet avertissement. Il considéra cependant grandement Tuor tant et si bien qu'après quelques années il ne lui refusa rien pas même la main de sa fille Idril. De l'union de l'Adan et de la Noldo naquit Eärendil, l'héritier dont Turgon avait toujours rêvé, mais aucun ne perçut la jalousie que cultivait Maeglin, lui qui avait tant désiré Idril, sa cousine pour épouse et qui ne l'avait jamais obtenu malgré les demandes incessantes de celui-ci à Turgon qui s'en dégoûtait. Morgoth ne cessait de songer à Turgon, le seul de la maison de Fingolfin à lui avoir échappé et il le craignait d'autant plus que depuis les où il l'avait connu à Valinor il avait pressenti que par lui viendrait sa ruine. Pour cela il voulait savoir où se retranchait le roi des Noldor et usa d'un perfide moyen, il libéra Húrin de son emprisonnement et il lui dit qu'il pouvait aller ou bon lui semblait, mais l'Ennemi le fit suivre. Húrin se rendit devant les murailles d'Echoriath et là pleura à grand cri afin que Turgon le prenne en pitié et l'accueil dans sa cité en souvenir du temps de Nirnaeth Arnoediad et du sacrifice qu'il avait fait en lui permettant de fuir la bataille. Cela fut rapporté à Morgoth, qui satisfait, savait à présent où se situait le royaume de son ennemi. Thorondor qui entendit ses lamentations, les rapporta à Turgon, ce dernier y vit mauvaise augure et crut que Húrin avait capitulé et révélé à Morgoth l'emplacement de la cité, refusant qu'on lui vienne en aide, pourtant prit de remord, il demanda aux Aigles d'aller le chercher, mais il était trop tard, Húrin avait quitté les lieux. Morgoth savait l'emplacement de la cité et envoyait constamment des espions afin de découvrir comment y accéder et ce fut ainsi que fut fait prisonnier Maeglin alors qu'il errait dans les montagnes. Le neveu du roi trahit le secret de Gondolin sous les tortures qui lui furent infligées. Mais pour le remercier Morgoth lui promis la capitainerie des Orcs et la main de sa cousine Idril. Nul ne se méfia de la duperie de Maeglin qui de retour au Roc Caché dissimula sa capture et Turgon ne soupçonna rien. L'attaque se déroula au matin de la fête de la Porte de l'Été, toute l'armée du Grand Roi se déploya malheureusement les ennemis était en force, trop nombreux et puissant, la Bataille de Gondolin fut une désastreuse défaite. Turgon refusa de fuir le Roc Caché, monta sur sa plus haute tour, cria dans le désespoir la victoire des Noldor et demeura là, alors que tous ceux qui le purent quittèrent les lieux et de loin les survivants purent voir la tour s'effondrer. Ainsi périt Turgon troisième Grand Roi des Noldor exilés et en cette heure tragique la victoire appartint au Roi Noir.
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Fingolfin:(mon préféré)


Autres noms Nolofinwë, Arakáno (Commandant)
Naissance 1190 des Années des Valar de l' Âge des Arbres
Décès 456 du Premier Âge du Soleil
Race Elfes
Groupe Noldor
Père Finwë
Mère Indis La Blonde
Frères Fëanor, Finarfin
Soeurs Findis, Irimë
Épouse Anairë
Fils Fingon, Turgon , Argon
Fille Aredhel Ar-Feiniel
Arme Ringil


Fingolfin naquit sur le continent d'Aman lors de l'Âge des Arbres de la seconde union du roi Noldo Finwë avec la Vanya Indis La Blonde. Né après sa sœur aînée, Findis, il était cependant le premier fils d'Indis et le deuxième de Finwë, car Fëanor était né de son premier mariage d'avec Míriel Serindë . Dans le langage quenya, Fingolfin fut nommé Nolofinwë par son nom de père, mais aussi Arakáno par son nom de mère, le surnom de Fingolfin, de forme sindarine lui étant attribué en Terre du Milieu.

Rapidement, la jalousie gagna le cœur et l'esprit de son demi-frère, Fëanor et les inimitiés s'accrurent à mesure du temps passé, bien que de plus grande sagesse, d'où le préfixe « Nolo », désignant « Sagesse » de son prénom, Fingolfin clama toujours la parité de son sang et de tous les Noldor en un seul et unique peuple.

Fingolfin épousa Anairë, une Elfe apparentée aux Teleri d'Alqualondë et de leur union naquirent quatre enfants, Fingon, Turgon, Argon et Aredhel Ar-Feiniel . Fingolfin comme Fëanor devinrent de grands seigneurs d'Aman, aimés de tous, pourtant il arriva qu'ils se firent orgueilleux et jaloux par les ruses de Melkor.

Le Vala maudit fit habilement tisser des rumeurs, ainsi à Fëanor l'on murmura que Fingolfin désirait usurper l'autorité de Finwë et de Fëanor par demande aux Valar. Tandis qu'à Fingolfin l'on disait que Fëanor tenait la volonté de son père et le chasserait lui et Finarfin de Túna. Les rumeurs portèrent leurs fruits, Fëanor forgea secrètement des armes et se révolta contre les Valar, les accusant de les tenir en servitude et à cela, Fingolfin réagit et dit à son père son mécontentement. Pourtant, Fëanor arriva à cet instant et leva l'épée sur son demi-frère et pour ce geste, Fëanor fut puni par les Valar et exilé de Tirion, alors Fingolfin déclara qu'il tiendrait son frère pour quitte. Fingolfin régna sur les Noldor le temps de l'exil de Fëanor, car Finwë avait suivi son aîné à Formenos pour démontrer son mécontentement. Il vint que Manwë organisa une fête dont le but était de réconcilier les Noldor, là, Fingolfin et Fëanor firent la paix en paroles et Fingolfin pardonna son demi-frère pour lui avoir tiré le glaive et prononça des paroles qui sans le savoir le conduirait à l'exil et la malédiction :

« _Demi-frère de sang, mais vrai frère de cœur ! Conduis-moi et je suivrai. Puisse aucun malheur nous séparer.

_Je t'entends dit Fëanor. Qu'il en soit ainsi. »

Le Silmarillion


Il est dit qu'à ce moment-là Melkor et Ungoliant se hâtaient à détruire les Arbres des Valar et le Crépuscule de Valinor fut. Après la destruction des Arbres, tous apprirent l'assassinat de Finwë par Melkor et le vol des Silmarils à Formenos. Fëanor prononça son terrible Serment, mais Fingolfin s'avança contre lui et le départ d'Aman qu'envisageait celui-ci, alors les épées furent tirées et seul Finarfin et Orodreth appelèrent au calme et la réflexion. Finalement, Fingolfin consentit au départ, poussé par son fils, Fingon et son désir de ne pas abandonner son peuple, mais son épouse refusa de le suivre bien que ces deux autres enfants, Turgon et Aredhel partirent avec leur père. Les Noldor se scindèrent en trois groupes, l'un suivait Fëanor, l'autre Fingolfin car ils ne souhaitaient pas prendre l'aîné de Finwë pour roi et en dernier venait Finarfin et sa suite. Ils se rendirent à Alqualondë, requérir l'aide des Teleri, espérant obtenir des bateaux pour gagner les rivages des Terres du Milieu, alors eut lieu le Massacre Fratricide auquel Fingolfin fut spectateur, voir participant, il est juste précisé que son fils, Fingon secourue l'armée de Fëanor avec celle de son père. Lorsqu'ils atteignirent Araman grâce aux navires volés cruellement, Mandos vint et les maudits en proférant la Prophétie du Nord. Ainsi sur Fingolfin reposa la malédiction de Mandos et seuls Finarfin et ses gens y échappèrent car ils firent demi-tour et demandèrent le pardons aux Valar.

Fingolfin poursuivit son chemin mais fut trahi par Fëanor qui s'empara sournoisement des navires pour arriver en Terre du Milieu avant de les brûler. Au loin Fingolfin vit le rougeoiement des flammes mais se refusa à faire demi-tour et rentrer honteusement à Valinor, ce fut pour cela qu'il traversa Helcaraxë Lorsqu'ils parvinrent en Terre du Milieu, à Mithrim, plus exactement et diminué en nombre, le soleil se levait pour la première fois sur le monde. Il installa son camp au Nord du Lac Mithrim, là, où était également le camp de Fëanor qui venait d'essuyer un premier combat contre Angband. Les deux camps faillirent s'affronter, mais les gens de Fëanor en moins grand nombre, s'inclinèrent et partirent au Sud du lac.

Par la mort de Fëanor, Fingolfin devint le Grand Roi des Noldor, une suzeraineté que même Maedhros affirma et s'installa définitivement son fief à Mithrim. Pour fêter leur retour en Terre du Milieu, Fingolfin organisa une réunion appelée Mereth Aderthad qui rassembla nombre espèces d'Elfes. La paix dura un temps jusqu'à ce que Morgoth, retranché à Angband depuis l'apparition du soleil, éprouva la force des Noldor, ce fut Dagor Aglareb. Mais alerte, Fingolfin et Maedhros écrasèrent l'Ennemi. Le calme et la prospérité demeurèrent tant que dura le Siège d'Angband. Fingolfin songea alors à un assaut définitif contre Morgoth, car il craignait son imprévisibilité, mais son idée fut rejetée, car la plupart des Noldor ne voyaient pas la raison de rechercher le combat et la mort et seuls Angrod et Aegnor partageaient la conviction du roi. Hélas, comme l'avait pressentit Fingolfin, Morgoth frappa avec soudaineté et puissance, ce fut Dagor Bragollach, la Bataille de la Flamme Subite . L'assaut fut d'une violence inouïe, Fingolfin crut voir arriver la ruine totale de son peuple. Enragé et inexorablement désespéré, il traversa Anfauglith et tous ceux qui le croissaient le fuyaient, croyant voir Oromë revenu en Terre du Milieu car ses yeux brillaient comme ceux des Valar. Seul devant les portes d'Angband il sonna de sa trompe et frappa, défiant Morgoth de venir l'affronter en duel. Ne pouvant refuser l'appel de l'Elfe à la vue de ses capitaines, Morgoth se leva de son trône, et non sans crainte, partit affronter Fingolfin qui la blâmait d'être un lâche. Il monta et ses pas faisaient trembler le sol, se dressant devant Fingolfin comme une tour immense et terrifiante. Le Roi des Noldor se tenait brillant telle une étoile face à lui, fier, il brandissait son bouclier et son épée Ringil. Maintes fois Morgoth tenta de l'écraser à l'aide de Grond et sept fois Fingolfin le transperça en lui arrachant un cri de douleur. Malheureusement, Fingolfin se fatigua et l'Ennemi abattit son bouclier, cependant trois fois il se releva, brandissant son écu brisé et son heaume fracassé. Fingolfin finit par trébucher dans l'un des nombreux trous creusés par Grond, tombant devant Morgoth. Le Noir Ennemi posa son pied gauche sur son cou, mais le Grand Roi parvint à lui trancher le pied avec Ringil avant de périr.

Le corps de Fingolfin fut écrasé mais Thorondor le sauva de l'appétit des Loups. L'Aigle balafra Morgoth avant de s'emparer de la dépouille du roi et déposa cette dernière sur un pic montagneux non loin de Gondolin. Plus tard, Turgon, fils de Fingolfin vint ériger un tombeau de pierre pour son père. Ainsi tomba Fingolfin, grands et vaillants parmi les seigneurs Elfes d'antan et aucune chanson ne fut dédiée à ce combat tant le chagrin était profond.

Fingolfin affronte Morgoth, et bien qu'il parvienne à le blesser sept fois, le Grand Roi des Noldor se fatigue et tombe bravement. (morgoth est un dieu)
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MessageSujet: .   encyclopédie sur les personages EmptyLun 5 Juin - 18:34

Feanor:


Autre nom Curufinwë
Signification Esprit de Feu
Naissance 1179 des Années des Valar de l'Âge des Arbres
Décès 1497 des Années des Valar de l' Âge des Arbres
Race Elfes
Groupe Noldor
Père Finwë
Mère Míriel Serindë
Belle-mère Indis La Blonde
Demi-frères Fingolfin, Finarfin
Demi-soeurs Findis, Irimë
Epouse Nerdanel
Fils Maedhros, Maglor, Celegorm, Caranthir, Curufin, Amras, Amrod

Curufinwë naquit durant l'Âge des Arbres en Eldamar, il était l'unique enfant de Finwë, le roi des Noldor et Míriel Serindë, mais son enfantement lui consuma l'esprit et le corps ; celle-ci se languissait de la vie, et ce fut dans les jardins de Lórien qu'elle perdit la vie dans son sommeil. Dans sa très grande peine, Finwë reporta tout son amour pour son fils Fëanor, il grandit vite et de façon surprenante. Le temps s'écoula et Finwë prit pour nouvelle épouse Indis La Blonde, une Vanya, celle-ci lui donna deux fils, Fingolfin et Finarfin, et deux filles, Findis et Irimë, mais la jalousie et la mésentente régnait entre le fils de Mìriel et ceux d'Indis.

Fëanor était grand, beau et noble, il était de surcroît considéré comme le plus intelligent, dans sa jeunesse, il améliora les pierres runiques de Rúmil, et créa les siennes, les runes fëanoriennes et les Twengar. Mais il était également considéré comme le plus habile. Forgeron de talent, il apprit cet art de son beau-père Mathan. Il fut le premier de sa race à découvrir la fabrication des gemmes. Les premiers joyaux qu'il fabriqua était translucides et en fit d'autres qui permettaient de voir des choses lointaines.

Il quitta le foyer de son père après la naissance de Fingolfin et dans son adolescence, il épousa Nerdanel, qui avait tout comme lui un caractère prompt, mais son épouse cultivait la patience, à mesure du temps, elle finit par s'éloigner de lui, ne parvenant plus à maîtriser ou supporter son caractère emporté. Elle lui donna sept fils. Il était le plus grand créateur de joyaux de tous les enfants d'Eru, il créa successivement :

*Les joyaux elfiques, emplis de la lumière des étoiles.

*Les Palantíri ou Pierres de Vision.

*Les trois Silmarilli, renfermant la lumière des Arbres.



Sa plus grande œuvre demeure les Silmarilli, ces trois joyaux contenant la lumière des Arbres des Valar. Ils étaient les plus magnifiques joyaux du monde, mais ils devinrent aussi une malédiction pour Fëanor et les siens. Lorsque Melkor eut détruit les deux Arbres, il assassina Finwë à Formenos qui y vivait auprès de son fils depuis l'exil de ce dernier par Mandos pour avoir enfrain les lois d'Aman, il s'empara des joyaux et fuya en Terre du Milieu. Ce fut alors que Fëanor revendiqua le titre de roi des Noldor et dans son amertume pour les Valar de ne pas avoir su protéger leurs hôtes, il rejeta leurs lois. Il avait soif de liberté, celle qui menait au-delà d'Aman sur la Terre du Milieu, alors il parla et pressa les Noldor de le suivre hors du Royaume Bienheureux et ainsi de venger la mort de son père et reprendre les Silmarils à Melkor. Alors Fëanor prononça son terrible Serment et à ses côtés, ses fils firent la même promesse.

Ainsi, le serment était scellé, tout comme leur avenir. Fëanor accompagné de ses demi-frères, Finarfin et Fingolfin et de leurs gens quittèrent leur capitale, Tirion pour se rendre à Alqualondë où se trouvait les navires. Fëanor porta le même discours de liberté aux Elfes Teleri qu'il avait tenus aux siens, mais ceux-ci restèrent insensibles à son laïus. Olwë, seigneur des Teleri refusa de leur procurer des navires pour quitter Aman, alors Fëanor rassembla son armée et s'empara des bateaux, les Teleri ripostèrent, et là, il eut lieu le Massacre Fratricide d'Alqualondë où, un grand nombre d'Elfes Marins moururent cruellement.

Dans sa colère, Mandos prononça sa malédiction appelé "La prophétie du Nord" ou "Le destin des Noldor" annonciatrice des malheurs qui surviendraient à la race noldorine.

Affligé, Finarfin fit demi-tour, et beaucoup le suivirent et obtirent le pardon des Valar, Fingolfin poursuivit avec Fëanor jusqu'à Helcaraxë, le grand Nord d'Arda. Fëanor prit à nouveau les navires remplis de ses gens pour se rendre en Terre du Milieu, un second voyage était nécessaire pour Fingolfin et ses gens, mais Fëanor brûla les bateaux, abandonnant les autres Noldor dans les glaciers.

Amère fut la rancœur de Fingolfin qui affronta avec son peuple Helcaraxë, Le Chaos des Glaces. Pendant ce temps, Fëanor et les siens parvinrent dans le désert de Lammoth, la nuit même, ils dressèrent un camp au Nord du Lac Mithrim, Melkor qui désormais portait le nom de Morgoth, le Noir Ennemi par Fëanor envoya une horde qui avait été alerté par l'incendie des navires, ce fut alors Dagor-Nuin-Giliath, la Bataille Sous les Etoiles, cette confrontation dura dix jours, pris au dépourvus et moins nombreux, les Noldor remportèrent malgré tout ce combat. Les quelques Orques encore en vie fuyèrent vers la plaine d'Ard Galen. Enragé, Fëanor les poursuivit avec hardiesse, et ce au-devant de son armée, comme consumé par sa propre fureur, si bien que trop éloigné du reste de son armée, il finit par se retrouver seul, alors, les créatures de Morgoth firent demi-tour et l'encerclèrent, puis les Balrogs jaillirent d'Angband pour leur prêter main forte.

Fëanor fut brave et courageux, longtemps, il combattit, inébranlable, malgré la douleur de ses très nombreuses blessures et des flammes cuisantes des Balrogs qui le harcelaient. Pourtant, il fut mis à bat par Gothmog, le Prince des Balrogs.



Lorsque ses fils le retrouvèrent, il n'avait pas encore trépassé, alors ses enfants le ramenèrent vers Mithrim, mais durant ce voyage, Fëanor leur demanda de faire halte, sentant son heure venue. Il ressentit avec la prescience des mourants que jamais ceux de sa race ne pourraient venir à bout de tels monstres. Il maudit par trois fois le nom de Morgoth et ordonna à ses fils de tenir leur serment et de venger leur père. Il mourut, il n'y eut pas plus de funérailles, car celui qui se nommait Fëanor, l'Esprit de Feu était d'une telle ardeur, qu'à sa mort son corps se réduisit en cendre et se dissipa en fumée.

Ainsi s'acheva la vie de Fëanor, le plus grand de tout les Noldor, celui dont les exploits cultivèrent gloire et malheur.


Dernière édition par le Lun 5 Juin - 18:43, édité 1 fois
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MessageSujet: ...   encyclopédie sur les personages EmptyLun 5 Juin - 18:43

Finarfin:


Autres noms Arafinwë, Ingalaurë
Naissance 1230 des Années des Valar de l' Âge des Étoiles
Race Elfe
Groupe Noldor
Père Finwë
Mère Indis La Blonde
Frères Fëanor, Fingolfin
Soeurs Findis, Irimë
Epouse Eärwen
Fils Finrod, Orodreth, Angrod, Aegnor
Fille Galadriel


Âge des Étoiles

Finarfin naquit lors de l'Âge des Étoiles en Pays d'Aman, il était le deuxième enfant né de la seconde noce du roi Noldo Finwë. Sa mère Indis surnommé La Blonde était une noble Vanya proche parente du roi Ingwë. Né après sa sœur aînée, Findis, son frère Fingolfin et sa soeur Irimë, il était cependant le second fils d'Indis et le troisième de Finwë, car Fëanor était né de son premier mariage d'avec Míriel Serindë . Dans le langage quenya, Finarfin fut nommé Arafinwë par son nom de père, dont le préfixe "Ara" signifie "Noble", mais aussi Ingalaurë par son nom de mère en référence à la blonde chevelure qu'il tenait de celle-ci. Finarfin et son frère aîné, Fingolfin étaient de nobles et respectables princes Eldalië de leur peuple, pourtant, l'amour que leur donnait leur père passait sous l'ombre de Fëanor, et les assentiments étaient manifestes entre les fils d'Indis et celui de Míriel.

Tant que cela lui était possible, Finarfin se tenait à l'écart des mésententes qu'entretenaient ses frères et souvent, il se rendait chez les Elfes d'Alqualondë pour y trouver la paix. Là, il rencontra Eärwen, fille du roi Olwë d'Alqualondë et l'épousa, de leur union, naquirent cinq enfants.

Après la destruction des Arbres et la mort de son père, Finwë par Morgoth, l'agitation des Noldor gagna son comble et Fëanor et ses fils prononcèrent leur terrible serment, enjoignant tous les Noldor qui le désiraient de quitter Aman et la prétendue servitude des Valar. Le ton monta vite, mais seul Finarfin parla calmement, demandant aux Noldor d'attendre et de prendre de la réflexion avant de s'engager sur un chemin qui n'aurait nul retour. Hélas, Fëanor était un excellent orateur et les paroles de Finarfin furent vaines.

Finarfin prit malgré tout l'initiative de quitter Aman, bien qu'il avança à contrecoeur et pour ne pas abandonné son peuple désireux de grands espaces à la témérité de Fëanor, il éprouvait une très grande répugnance à quitter le Royaume Bienheureux. Son escorte était celle qui fermait la marche et souvent, il se retournait pour regarder au loin la cité qu'il abandonnait.

Finarfin fut tout au moins spectateur du Massacre Fratricide d'Alqualondë par les Noldor et embarqua avec ses gens dans les navires Teleri. Arrivés en Araman, les frontières Nord d'Aman, Tous aperçurent une forme noire debout, surplombant la grève, c'était Mandos en personne qui était venu en tant qu'héraut de Manwë prononcer la "Prophétie du Nord".

Finarfin fut plongé dans l'affliction de ces funestes paroles et abandonna la marche avec une très grand nombre des siens, le coeur plein d'amertume et de colère pour Fëanor qui avait trahi Olwë d'Alqualondë, son beau-père. Il retourna à Valinor et demanda le pardon aux Valar, qu'il obtenut. Finarfin eut pour charge de gouverner les Noldor demeurés en Aman. Mais aucun de ses fils, ni sa fille de rebroussèrent chemin avec lui par désir de poursuivre mais aussi par crainte de la sentence des Valar, car certains avaient participé au Massacre d'Alqualondë.



Premier Âge du Soleil

Finarfin et l'armée Noldo partit en guerre aux côtés des Vanyar et des quelques Teleri qui acceptèrent de participer à la grande Guerre de la Colère, celle qui causa la défaite totale de Morgoth, puis s'en retourna pour Aman.
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Beleg:



Signification Cúthalion (Arc de Fer )
Décès 489 du Premier Âge du Soleil
Race Elfes
Groupe Sindar
Armes Anglachel, Belthronding


Beleg était un Elfe Sinda appartenant au peuple d'Elu Thingol, surnommé Cúthalion, l'Arc de Fer en raison de la grande dextérité avec laquelle il maniait Belthronding, son arc. Il était le Capitaine des Gardes de Thingol, un maître dans l'art de guérir et un fidèle défenseur du royaume caché, vivant sur les Marches de Doriath.

Suite à la défaite de Dagor Bragollach, les Orques déferlèrent et tentèrent de pénétrer le Brethil habité par les Haladin, dont le seigneur, Halmir, était l'ami des Elfes qui gardaient les frontières de Doriath. Thingol envoya Beleg porter secours à ces Edain. L'Elfe emmena avec lui une troupe de Sindar armés de haches et au côté d'Halmir, Beleg combattit, parvenant ensemble à exterminer leurs envahisseurs.

Beleg compta parmi les chasseurs qui partirent à la recherche du grand loup d'Angband, Carcharoth. Húan, le Chien de Valinor combattit le Loup mais tous deux périrent et Beren également. Beleg et les autres chasseurs le portèrent sur un brancard jusqu'à Lúthien qui le rejoignit dans les Cavernes de Mandos et l'en délivra.

Lorsque l'Union de Maedhros appela à l'immobilisation de tous pour combattre Morgoth, Thingol se refusa à se joindre à lui. Pourtant, Beleg et Mablung demandèrent l'autorisation à leur roi de les laisser partir guerroyer, et Thingol leur accorda ce droit sous la condition qu'ils ne suivent pas les fils de Fëanor. Beleg rejoignit l'armée de Fingon, hélas, cette guerre tourna au désastre et fut nommée la Bataille des Larmes Innombrables.

Beleg retourna en Doriath et au cours de cette même année, alors qu'il chassait, il fit la rencontre d'un enfant, Túrin. Il le conduisit ainsi que ses deux compagnons de voyage jusqu'à Menegroth pour y rencontrer Thingol à qui ils demandèrent asile pour le fils de Húrin et Morwen. Túrin vécut en Doriath et Beleg s'attacha énormément à lui, lui enseignant le maniement des armes. Il fut l'un de ses compagnons d'armes lorsque celui-ci devint un Homme.

Après la mort de Saeros causée par Túrin et la fuite de ce dernier, Beleg partit à sa recherche et trouva son refuge où il vivait avec des proscrits dont il était devenu le chef. Túrin étant absent, les malfrats lièrent l'Elfe et le maltraitèrent. Túrin fut honteux à son retour du comportement de ceux avec qui ils vivaient et des actes qu'ils avaient perpétré ensemble par le passé. Beleg lui transmis le pardon de Thingol et le souhait de celui-ci de revoir Túrin de retour en Doriath. Mais, il refusa obstinément et Beleg retourna seul à Menegroth. Avec l'accord de Thingol, il décida de rejoindre Túrin à Amon Rûdh et le roi lui offrit Anglachel pour épée et Melian du Lembas, emportant avec lui le Heaume de Dor-lómin pour Túrin. Il arriva à Bar-en-Danwedh, la demeure de Mîm le Nain et fut heureusement accueilli. Là, il demeura auprès de son ami malgré la haine que Mîm cultivait envers l'Elfe qui vivait sous son toit. Ensemble, il combattirent contre la puissance venue d'Angband, ils défendirent le territoire situé entre le Teiglin et la frontière Ouest de Doriath et cette région porta le nom de Dor-Cúathol, le Pays de l'Arc et du Heaume et Beleg et Túrin en était les capitaines.

Mîm trahit le repère où vivaient Túrin et Beleg et les Orques attaquèrent par surprise, Beleg fut gravement blessé, à cela, Mîm tenta de le tuer avec Anglachel, mais il parvint à s'emparer du glaive et mit le Neogyth Nibin en fuite. Il se soigna et reprit force avant de partir à la recherche de Túrin qu'il savait prisonnier des Orques. Lors de sa traque qui le mena jusqu'à Taur-nu-Fuin, il fit la rencontre de Gwindor, noble parmi les Noldor de Nargothrond échappé d'Angband où il avait été fait esclave depuis Nirnaeth Arnoediad. Beleg le soigna et ensemble ils suivirent la piste des Orques. Beleg finit par découvrir leur camp et la nuit venue, il parvint à tuer les loups qui tenaient la garde grâce à Belthronding et avec Gwindor, emmena Túrin en-dehors du camp. Hélas, lorsque Beleg voulut défaire les liens qui maintenaient son ami avec Anglachel, le glaive glissa et s'enfonça dans le pied de Túrin. Effrayé, il s'éveilla de son inconscience, se saisit de l'épée et la plongea dans le corps de l'Elfe. Ainsi s'acheva la vie de Beleg Cúthalion, l'un des plus grands des Elfes de la Terre du Milieu, rattrapé par la funeste malédiction de Túrin. Après sa mort Túrin composa un chant pour son ami qu'il nomma Laer cù Beleg, Le Chant de l'Arc de Fer.
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Tuor:



Naissance 472 du Premier Âge du Soleil
Race Hommes
Père Huor
Mère Rían
Epouse Idril Celebrindal
Fils Eärendil
Arme Dramborleg


Rían mit au monde un garçon qu'elle appella Tuor quelques mois après la mort de son mari, Huor, à Nirnaeth Arnoediad. Elle le confia à Annael des Elfes Gris, puis se coucha à terre et mourut dans les solitudes d'Anfauglith.

Lorsque Tuor eut seize ans ces Elfes voulurent quitter secrètement leurs Cavernes d'Androth pour aller aux Ports du Sirion en passant par Annon-in-Gelydh ou la Porte des Noldor.
Malheureusement, dès qu'ils quittèrent les collines de Mithrim, ils se firent attaquer par une troupe d'Orcs et d'Easterlings et Tuor devint l'esclave de Lorgan alors chef des Orientaux d'Hithlum.
Trois plus tard, il s'évada et regagna les Cavernes d'Androth où il vécut seul pendant quatre ans. Il chercha beaucoup la Porte des Noldor mais ne la trouva pas.

Un jour, il sortit sa harpe et chanta, alors la source qui était à ses pieds se mit à bouillonner et à déborder, un ruisseau dévala la pente et Tuor le suivit pendant trois jours. Puis, il arriva en vu des crêtes Dor-lómin, et là il y avait une brèche où le ruisseau s'engouffrait. Tuor était fatigué et se laissa aller au désespoir, mais il entendit une voix tourna la tête et vit deux Elfes, il les interpella et put apprendre qu'ils s'appellaient Gelmir et Arminas. Ils lui dire que la brèche était en fait la Porte des Noldor et que son espoir ne l'avait pas trompé. Tuor descendit un long escalier dans le noir durant un long temps, puis déboucha dans une vallée profondément encaissée.

Il resta là tout l'été et à l'automne, il vit sept cygnes voler en direction du Sud, il les suivit et arriva à Vinyamar près du Mont Taras. Dans la cité deserte il trouva le heaume, le heaubert, le bouclier, la cotte mais aussi l'épée qu'avait laissé Turgon à son intention. Lorsqu'il ressortit, les sept cygnes s'arrachèrent une plume et les posèrent devant lui, il les prit et les mit sur son heaume.
Tuor descendit sur la grève et il contempla la mer et en tomba amoureux, il ce fut alors qu'Ulmo apparut à Tuor, s'inclinant profondément face au Vala qui ui révéla ce à quoi il était destiné.
Soudain une terrible tempête se leva et Tuor se réfugia dans la grande salle de Vinyamar. Au matin il descendit sur la terrasse et vit un Elfe tout vêtu de gris. Ils parlèrent, et l'Elfe qui n'était autre que Voronwë fils d'Aranwë accepta de conduire Tuor à Gondolin la cité cachée de Turgon.


Ils partirent ainsi, atteignirent le Beleriand, obliquant vers l'Est et parvinrent près des sombres sommets de l'Ered Wethrin infestés d'Orcs.
Ils passèrent inaperçus grace au manteau d'ombre de Tuor et arrivèrent au Fontaines d'Ivrin où ils purent contempler le désastre de Glaurung le Dragon.
Après un long voyage au coeur de l'hiver, Tuor et Voronwë parvinrent à la Rivière-à-Sec et la suivirent jusqu'à une grande falaise où il avait une faille. Ils penétrèrent dans la brèche et la tout devint noir mais Voronwë allait sans hésiter et Tuor le suivait la main sur son épaule.
Soudain une voix dans le noir dit: "Ne bougez pas, ne faites pas un seul pas ou vous périrez que vous fussiez ennemis ou amis !". Alors Tuor et Voronwë furent conduit par les sept portes de Gondolin.

Tuor fut conduit devant Turgon où il le mit en garde contre la Malédiction de Mandos, lui disant qu'elle allait bientôt se réaliser et qu'il fallait tout de suite quitter Gondolin car, comme toutes le oeuvres des Noldor, elle allait être anéantie. Turgon réfléchit longuement mais finalement, décida de rester. Tuor, éblouit par la beauté de Gondolin, resta au Roc Caché. Il devint un conseiller du roi et s'attira la jalousie de Maeglin, le neveu du roi.

La fille de Turgon, Idril Celebrindal et Tuor tombèrent amoureux et Tuor était porté si haut dans l'estime de Turgon que celui-ci ne lui refusa pas le main de sa fille, organisant une très belle fête en l'honneur de leur mariage, scellant ainsi la deuxième alliance entre les Elfes et les Hommes. Maeglin et sa jalousie s'accrurent envers Tuor, car il désirait également la main de sa cousine, héritière du trône de Turgon qu'il aimait secrètement. Le printemps suivant leurs épousailles, naquit Eärendil Le Marin, fils de Tuor et Idril.


Mais un jour, Maeglin fut enlevé par des Orcs et conduit à Angband. Là, il révéla l'emplacement de Gondolin et la route qui y menait à Morgoth. La récompense du Noir Seigneur pour le traître était d'obtenir une capitainerie auprès des Orques et de faire brûler Tuor et son fils Eärendil, mais aussi de donner Idril comme épouse à Maeglin. Sept année plus tard, Morgoth déploya son armée, ce fut la Bataille du Roc Caché, provoquant la Chute de Gondolin.


Tuor voulut sauver Idril de la mise-à-sac de la cité, mais Maeglin s'était emparé d'elle et d'Eärendil. Alors, ils se battirent en duel et le corps de Maeglin rebondit deux fois sur les rochers avant de tomber dans les flammes. Tuor et Idril rassemblèrent tout ceux qu'ils purent trouver et passèrent par le passage secret que Tuor et Idril avaient fait aménager dans le plus grand secret.
Beaucoup de légendes racontent la vaillance de Glorfindel contre le Balrog sur l'aiguille rocheuse, au Nord du cercle de montagne qui entoure Gondolin. Mais ils finirent par tomber tout deux dans un profond précipice, mais Thorondor, le roi des Aigles parvint à sortir le corps de Glorfindel et Tuor et les siens purent l'enterrer sous un amas de pierres où poussa plus tard des petites fleurs jaunes.

Ainsi, Tuor et ce qui restait du peuple de Gondolin purent atteindre Nan-Tathren, le Pays des Saules et rejoindre les gens du Sirion. Mais Tuor sentant la vieillesse venir, construisit un navire qu'il appella Eärámë, l'Aile Marine. Il fit voile avec Idril Celebrindal vers l'Ouest, et on raconte que lui seul parmi les mortels fut accepté en Aman.
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EÄRENDIL:




Signification Qui aime la Mer
Autre nom Ardamírë, Eärendel, Gil-Estel
Naissance 503 du Premier Âge du Soleil
Race Elfes
Groupe Demi-Elfe
Père Tuor
Mère Idril Celebrindal
Épouse Elwing
Fils Elrond, Elros
Arme Dramborleg


Premier Âge du Soleil

Eärendil de son nom de père et Ardamírë de son nom de mère naquit lors du Premier Âge du Soleil à Gondolin, cité de son grand-père Turgon. Fils de l'Adan Tuor et de la Noldo Idril Celebrindal, il était un Peredhel, un Demi-Elfe. Il vécut au Roc Caché jusqu'à sa septième année, année au cours de laquelle Morgoth attaqua la cité Elfe. Idril revêtit Eärendil d'une cotte de maille qu'elle avait faite faire à son intention, car prévoyante, elle avait pressenti le mal arriver. Durant la bataille qui faisait la rage dans la cité, Maeglin qui avait trahi le chemin de Gondolin à l'Ennemi et avait ainsi conduit le désastre, s'empara d'Eärendil pour le jeter par-dessus les remparts de la ville sous les yeux d'Idril qu'il désirait plus que tout. Grâce à l'intervention de son père qui tua Maeglin, Eärendil avec ses parents parvint à fuir la cité par le tunnel secret qu'Idril avait fait creuser et ensemble réussirent à s'échapper. Son exil le mena à Nan-Tathren et cette terre protégée par le pouvoir d'Ulmo les garda en paix. Là, Tuor composa un chant pour Eärendil et en lui s'éveilla le désir de voir la Mer. Il quitta Nan-Tathren avec ses parents pour se rendre à l'Embouchure du Sirion où déjà se trouvait Elwing et ses gens, des rescapés de Doriath.

Eärendil passa le reste de son enfance à l'Embouchure du Sirion et plus tard en devint le seigneur. Il partagea son amour avec Elwing et l'épousa à l'âge de vingt sept ans et deux ans après leur union, il devint le père des jumeaux Elrond et Elros, par qui il advint la lignée des rois de Númenor. Avec l'aide de Círdan Le Charpentier il construisit le Vingilot et par son désir grandissant de voguer à la recherche du Royaume Bienheureux et par souhait de retrouver ses parents partis en Mer et dont il était sans nouvelle, il laissa Elwing et ses fils et quitta le rivage, voyageant avec les Elfes Falathar, Erellont et Aerandir. Hélas, Eärendil ne trouva ni Tuor ni Idril et malgré ses recherches ne trouva point Valinor, car toujours des enchantements le repoussaient de cette terre bénie. Alors, son désir de revoir son épouse le poussa à retourner à l'Embouchure du Sirion. Ce fut pourtant Elwing qui vint à lui, car durant son absence les fils de Fëanor avaient attaqué l'Embouchure du Sirion afin d'accomplir leur Serment et récupérer le Silmaril que détenait Elwing jadis obtenu par son aïeul Beren par amour pour Lúthien. Elwing s'était jetée à la Mer avec le Silmaril à son cou, mais Ulmo la pris en pitié, la changeant en grand oiseau blanc. De cette manière, Elwing retrouva Eärendil et lui raconta la bataille du Sirion et l'enlèvement d'Elrond et Elros par les fils de Fëanor. Alors, désespéré, Eärendil fit une fois de plus demi-tour et à nouveau partit à la recherche de Valinor et la grâce fit qu'ils parvinrent à jeter l'ancre dans la baie d'Eldamar. Ainsi, Eärendil fut la premier Homme à poser le pied sur Aman et Elwing le suivit contre le désir de son époux. Il traversa Tirion et Eonwë vint à sa rencontre et le conduisit devant les Valar. Là, Eärendil demanda le pardon pour les Noldor, la pitié pour leurs souffrances et la grâce pour les Elfes et les Hommes et sa prière fut entendue. Pourtant, fils des Hommes et des Noldor exilés, il lui était interdit de fouler le sol de Valinor et un conseil eut lieu sur le sort qui devait être le sien et celui d'Elwing. Manwë décidé que lui, son épouse et ses enfants auraient le libre arbitre de décider à quelle race ils souhaiteraient appartenir. Eärendil laissa ce choix à Elwing qui décida de prendre vie d'Elda, alors Eärendil fit de même bien qu'il aurait préféré la destinée des Hommes. Après cela, plus jamais Eärendil ne revint au berceau de son enfance, la Terre du Milieu.

Les Valar bénirent Vingilot et à son bord Eärendil dont le front était ceint du Silmaril s'envola dans le ciel au-delà de la Porte de la Nuit. En Terre du Milieu, ceux qui aperçurent son éclat l'appelèrent Gil-Estel, l'Étoile du Grand Espoir . Et alors que l'armée de l'Ouest faisait route vers la Terre du Milieu pour affronter Morgoth, Eärendil y prit part à bord de Vingilot. Ce fut la Guerre de la Colère et Eärendil s'avança avec les oiseaux du ciel menés par Thorondor. Il transperça le Dragon Ancalagon Le Noir qui brisa Thangorodrim lors de sa chute avant de mourir.




Second Âge du Soleil

Lorsque les Valar façonnèrent pour les Edain Númenor, Eärendil vint à l'Ouest illuminé de sa flamme argentée pour annoncer aux Hommes que tout était prêt et il les guida à travers les mers jusqu'à l'Île de l'Offrande. Les Hommes furent si heureux qu'ils nommèrent cette île Elenna, la Route de l'Étoile parmi bien d'autres noms encore.

Ainsi fut la destinée d'Eärendil qui porta l'un des trois Silmarils à travers ciel et ainsi prit toute la signification du nom prophétique qu'Idril lui avait donné à sa naissance Ardamírë, Joyau du Monde.
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Elros:


Signification Elros (Ecume d'Etoile) Tar-Minyatur (Premier Grand Souverain)
Autres noms Ar-Elrôth, Elerossë (Etoile Scintillante), Indilzar
Naissance 532 du Premier Âge du Soleil
Décès 442 du Second Âge du Soleil
Race Humains
Groupe Númenoréens
Père Eärendil
Mère Elwing
Frère Elrond Peredhel
Fils Vardamir Nólimon, Manwendil, Atanalcar
Fille Tindómiel
Arme Dramborleg


Elros naquit en 532 du Premier Âge à l'Embouchure du Sirion, soit cinquante huit années avant la fin de celui-ci et la chute de Morgoth. Il était avec son frère jumeau Elrond, les uniques enfants qu'engendrèrent les Demi-Elfes Eärendil et Elwing. Lors du Massacre Fratricide de Sirion, Elrond et Elros furent fait prisonniers des fils de Fëanor, mais Maglor dont le cœur était las et dégoûté des actes perpétrés par le poids de son Serment, se prit d'affection pour les jumeaux et les prit en pitié. Ainsi, aucun mal ne leur fut fait et ils furent recueillit sur l'île de Balar par les seigneurs Círdan et Gil-galad.

Elros ne revit plus jamais ses parents, sinon son père de loin, qui dans la voûte voguait sur son navire telle une étoile brillante, car il portait un des Silmaril à travers ciel. Après la Guerre de la Colère, il fut soumis à Elros comme à Elrond le choix d'appartenir soit à la race des Eldar, soit à celle des Edain. Différemment de son frère, Elros choisit la destinée des Hommes mortels et pour leur fidélité, les Humains furent récompensés par les Valar. Car en effet, ceux-ci leur octroyèrent une île qu'Ulmo fit surgir de la Mer, Númenor et Elros en devint le premier souverain selon le désir des Valar.

Trente deux années après le commencement su Second Âge, Elros et tous les Edain qu'il avait pu emmener avec lui atteignirent Númenor, grâce aux navires de Círdan. Avec lui, Elros emporta de fabuleux trésors tels qu'Aranrúth, l'Anneau de Barahir, Dramborleg ou encore l'arc de Bregor, qui furent par tradition transmis de souverain en souverain.

Elros Tar-Minyatur, car tel fut son titre, gouverna les Númenoriens durant quatre cent dix années. Son règne fut le plus long de tous les rois ayant appartenus à sa lignée, car il lui fut accordé une vie dotée d'une longévité surpassant largement celle des Humains ordinaire. Ce fut son fils Vardamir Nólimon qui lui succéda, dit-on à peine une année avant que celui-ci ne céda finalement le sceptre à son fils Tar-Amandil.
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Finarfin :



Autres noms Arafinwë, Ingalaurë
Naissance 1230 des Années des Valar de l' Âge des Étoiles
Race Elfe
Groupe Noldor
Père Finwë
Mère Indis La Blonde
Frères Fëanor, Fingolfin
Soeurs Findis, Irimë
Epouse Eärwen
Fils Finrod, Orodreth, Angrod, Aegnor
Fille Galadriel


Finarfin naquit lors de l'Âge des Étoiles en Pays d'Aman, il était le deuxième enfant né de la seconde noce du roi Noldo Finwë. Sa mère Indis surnommé La Blonde était une noble Vanya proche parente du roi Ingwë. Né après sa sœur aînée, Findis, son frère Fingolfin et sa soeur Irimë, il était cependant le second fils d'Indis et le troisième de Finwë, car Fëanor était né de son premier mariage d'avec Míriel Serindë . Dans le langage quenya, Finarfin fut nommé Arafinwë par son nom de père, dont le préfixe "Ara" signifie "Noble", mais aussi Ingalaurë par son nom de mère en référence à la blonde chevelure qu'il tenait de celle-ci. Finarfin et son frère aîné, Fingolfin étaient de nobles et respectables princes Eldalië de leur peuple, pourtant, l'amour que leur donnait leur père passait sous l'ombre de Fëanor, et les assentiments étaient manifestes entre les fils d'Indis et celui de Míriel.

Tant que cela lui était possible, Finarfin se tenait à l'écart des mésententes qu'entretenaient ses frères et souvent, il se rendait chez les Elfes d'Alqualondë pour y trouver la paix. Là, il rencontra Eärwen, fille du roi Olwë d'Alqualondë et l'épousa, de leur union, naquirent cinq enfants.

Après la destruction des Arbres et la mort de son père, Finwë par Morgoth, l'agitation des Noldor gagna son comble et Fëanor et ses fils prononcèrent leur terrible serment, enjoignant tous les Noldor qui le désiraient de quitter Aman et la prétendue servitude des Valar. Le ton monta vite, mais seul Finarfin parla calmement, demandant aux Noldor d'attendre et de prendre de la réflexion avant de s'engager sur un chemin qui n'aurait nul retour. Hélas, Fëanor était un excellent orateur et les paroles de Finarfin furent vaines.

Finarfin prit malgré tout l'initiative de quitter Aman, bien qu'il avança à contrecoeur et pour ne pas abandonné son peuple désireux de grands espaces à la témérité de Fëanor, il éprouvait une très grande répugnance à quitter le Royaume Bienheureux. Son escorte était celle qui fermait la marche et souvent, il se retournait pour regarder au loin la cité qu'il abandonnait.

Finarfin fut tout au moins spectateur du Massacre Fratricide d'Alqualondë par les Noldor et embarqua avec ses gens dans les navires Teleri. Arrivés en Araman, les frontières Nord d'Aman, Tous aperçurent une forme noire debout, surplombant la grève, c'était Mandos en personne qui était venu en tant qu'héraut de Manwë prononcer la "Prophétie du Nord".

Finarfin fut plongé dans l'affliction de ces funestes paroles et abandonna la marche avec une très grand nombre des siens, le coeur plein d'amertume et de colère pour Fëanor qui avait trahi Olwë d'Alqualondë, son beau-père. Il retourna à Valinor et demanda le pardon aux Valar, qu'il obtenut. Finarfin eut pour charge de gouverner les Noldor demeurés en Aman. Mais aucun de ses fils, ni sa fille de rebroussèrent chemin avec lui par désir de poursuivre mais aussi par crainte de la sentence des Valar, car certains avaient participé au Massacre d'Alqualondë.



Premier Âge du Soleil

Finarfin et l'armée Noldo partit en guerre aux côtés des Vanyar et des quelques Teleri qui acceptèrent de participer à la grande Guerre de la Colère, celle qui causa la défaite totale de Morgoth, puis s'en retourna pour Aman.



CHRONOLOGIE

Âge des Arbres

1230 des Années des Valar: Naissance de Finarfin.

1280 des Années des Valar: Finarfin épouse Eärwen, fille du roi Olwë d'Alqualondë.

1495 des Années des Valar: Finarfin assiste au Serment de Fëanor.

1496 des Années des Valar: Finarfin abandonne la marche et l'exil pour la Terre du Milieu et s'en retour à Valinor mander le pardon des Valar.
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